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ville de vanves - Page 575

  • 11 NOVEMBRE 2019 A VANVES : L’HOMMAGE DES POILUS AUX OPEX

    101 ans après, comme 100 ans après, les vanvéens ont rendu hommage à leurs morts pour la France à l’occasion du 101e anniversaire de l’armistice, sous la pluie et un temp de Novembre. Aux 4 générations du feu, les anciens combattants de 14-18, de 39-45, des guerres coloniales (Indchine, Algérie, Maroc, Tunisie), et les OPEX

    Bien évidemment le message de la ministre des Anciens Combattants lu par Marie Françoise Goloubtzoff, maire adjoint aux anciens combattants et le discours de Bernard Gauducheau ont rappelé la mémoire de ces poilus tombés au combat, les derniers morts vanvéens de la Der des der vanvéens étant cité au carré Militaire du cimerière, tout comme les 5 Soldats français morts en 2019 dans les opérations extérieures. Un monument a d’ailleurs été inauguré dansl’après midi, pas trés loin, au parc André Citroen que certains vanvéens fréquentent, par le président de la République, rendant hommage à ses 549 soldats français morts pour la France sur 17 théâtres d'opération, dont 141 au Liban, 129 au Tchad, 85 en Afghanistan et 78 en ex-Yougoslavie. Le dernier nom inscrit sur ce mur est celui du brigadier-chef Ronan Pointeau, tué le 2 novembre au Mali, où sont déjà morts 23 soldats.

    7000 soldats français sont présents loin dans le Monde dans ces opérations françaises à l’extérieure comme l’a rappelé Mgr Jacques Turk, avant de lire des extraits d’une lettre d’un grand parent à sa mére, blessé dans une tranchée. Une délégation russe a rendu un hommage particulier, à ses 15 soldats soviétiques enterrés dans le carré militaire comme l’année dernière, grâce à l’association Vie et Croisance et la paroisse Orthodoxe de Vanves.

    Après un défilé dans l’avenue Marcel Martinie et rue Mary Beyssere, l’ensemble des anciens combattants, des élus, de la délégation russe, des vanvéens venus nombreux malgré la pluie,  ont rejoint le monument aux morts, tambour battant, avec l’arrivée de la Flamme que les sections UNC et FNACA avaient été cherché à l’Arc de Triomphe, la veille au soir,  lecture du message de la ministre, discours du maire, dépôt de gerbes, minute de silence, Marseillaise et un poéme d’Aragon «Tu n’en reviendras pas» chanté par Léo Ferré. La journée s’est terminée par la projectin d’un film d’Albert Dupontel « Au revoir là haut » qui raconte l’histoire de deux rescapés des tranchées, l'un dessinateur de génie, l'autre modeste comptable, qui décident de monter une arnaque aux monuments aux morts, dans la France des années folles. Et pour Paul Guillaud, commissaire de la Flamme et Président de l’UNC Vanves et 92 à l’Arc de Triomphe, où il a participé à l’inauguration de la plaque apposée sur l’un de ses murs, rendant hommage aux OPEX et à la traditionnelle veillée du 11 Novembre.

  • VANVES DURANT CETTE PREMIERE ANNEE DE PAIX VOILA 100 ANS

    Dés les jours qui ont suivi l’armistice, Vanves a retrouvé ses soucis du quotidien : Le conseil municipal du 23 Novembre 1918 votait un budget «d’attente» de 972 965 frs pour 1919, selon son rapporteur «en raison des événements de guerre qui touchent à leurs fins». Mais surtout, il votait un crédit de 25 000 frs pour la création d’un monument aux morts et de mesures diverses qui pourront être prises « pour perpétuer la mémoire des soldats de Vanves morts au champ d’honneur ». Il saisissait la commission départementale des dommages de guerre, pour les dégats du cimetière et de la rue Danton en demandant respectivement 3891 frs et 1500 frs. Il décidait de baptiser certains rues pour perpétuer le souvenir de la victoire : Av Foch ( allée du progrés), Joffre (ex-Liberté), Gallieni ( rue du Parc), rue Clemenceau (ex-rue du Plateau devenu rue Gambetta, la rue Georges Clemenceau actuelle étant l’ex-sentier des Nouzeaux), Pétain (ex-de la Manufacture devenue la rue Mary Beyssere), de la Marne (ex-rue du Château), rue de Verdun (ex-Francois 1er), avenue des alliés (une partie, haute,  de la rue Antoine Fratacci ) et avenue du Président Wilson (sur l’autre partie basse de cette rue). Frédéric Pic avait proposé l’attribution du nom de Jean Jaurés à une rue de Vanves pour « glorifier l’homme qui s’était fait l’apôtre du droit contre la force ». Mais il a retiré sa proposition afin qu’elle ne soit pas prise pour une manifestation politique susceptible de diviser le conseil municipal. Justice lui sera rendu plus tard

    La municipalité relancait un nouveau projet d’assainissement général de la commune ajourné à cause de la guerre, c’est-à-dire, l’établissement d’un réseau d’égout sur tout son territoire. Il demandait à la société ECFM concessionnaire de l’éclairage de le remettre en fonction, tel qu’il existait au jour de la mobilisation, tout en reconnaissant qu’il ne pourra se faire que pas étape, en raison des difficultés d’approvisionnements  et de trouver de la mai d’œuvre. Et il supprimait toutes les indemnités pour cherté de la vie voté durant la guerre.. Enfin, c’est à cette époque que les fameuses fortifications (là où s’installérent les chiffonniers et biffins jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale avant d’être utilisé pour aménager  le bd périphérique) étaient démolis par les prisonniers allemands.   

    Enfin, le 7 Décembre 1919, Frédéric Pic était élu maire et prenait le relais d’Aristide Duru. Ce maire qui est resté plus de 20 ans à la tête de cette commune n’a cessé de rappeler tout le bienfait qu’a apporté à Vanves pendant la guerre, son prédéceseur, son humanité, sa courtoisie, sa grande bonté qu’il a toujours su montrer à des administrés, prenant soin d’aller lui-même annoncer le décés d’un poilu vanvéen à sa famille.

  • DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE VANVES

    EXPOGRAPH VANVES :« Expograph rate l’avion d’Air France. Battu 2/3, à domicile, après encore une fois avoir mené 2/0, il faut maintenant préparer la descente...du mieux possible!! Cette année ,11 joueurs ne font pas une équipe. Echec sur toute la ligne. Le club est dans le dur, certains s’en réjouiront, d’autres le feront renaître ,c’est le football. La solution ??? » commente Jean Royer son co-président très très déçu et découragé

    ROGER HUARD : « Brillant sportif, il a d’abord joué au football et fut pressenti pour être remplaçant du gardien de l’équipe de France, Dominique Colonna dans les années 60» indique François Praud, ex-président à l’annonce du décés de Roger Huard qui, employé communal, a été entraîneur de l’équipe première de football du Stade de vanves et s’est énormément investi dans  l’association sportive  des employés de la mairie de Vanves et de son équipe de football